vendredi 18 juin 2010

LE STYLE EKYOG S’INSCRIT DANS LE PRÉSENT, « ET POUR LONGTEMPS »


Cinq comédiennes, Emma de Caunes, Nora Arnezeder, Elsa Zylberstein, Émilie Dequenne et Zoé Félix, font le trait d’union entre le monde du cinéma, et celui de la mode, offrant un crédit artistique à une marque qui le mérite.
Depuis l’ouverture de sa première boutique en 2004, Ekyog crée des collections textiles femme et bébé en matières écologiques et équitables. En plus d’être respectueuse de l’environnement, la marque offre une véritable bulle de Doux-être®. Douceur, équilibre, élégance, fluidité font partie intégrante de l’ADN de la marque, en référence au YOGA, dont la sonorité se retrouve dans la terminaison de son nom.

Avec la collection capsule POUR LONGTEMPS, Ekyog affirme son style, et se positionne parmi les marques de prêt-à-porter milieu/haut de gamme les plus plébiscitées, et cela dans le respect des générations présentes et futures. Les matières utilisées sont nobles et naturelles, offrant un confort appréciable au premier touché. Les bénéfices récoltés par l’association Terre d’Ekyog, grâce aux ventes de la collection, permettront la construction de puits d’eau à Madagascar.















La 37ème boutique inaugurée hier, située au cœur du quartier de Saint Germain, offre un agréable lieu de cocoon, sans perdre du tempérament de la marque. La devanture adresse un message interpellant à la cliente, « PRéFéRER LA MODE DURABLE A LA MODE JETABLE », rappelant que l’implication du consommateur est cruciale. Ekyog joue le jeu, et on ne peut pas dire que l’on n’était pas au courant…


La marque poursuit actuellement son développement, en s’intéressant aux villes moyennes et grandes. Le nombre de boutiques passera à 45 en septembre prochain.


mercredi 16 juin 2010

DISTRIBUTION : BOUTIQUE PROPRE OU E-BOUTIQUE ?

De nombreuses marques de vêtements écologiques et équitables, créées pour la plupart au cours de ces 10 dernières années, coexistent sur un marché déjà presque saturé. On comptait lors du dernier Ethical Fashion Show de Paris, une centaine de créateurs. Si ce marché est tant convoité, c’est d’abord parce qu’il est nouveau. L’offre est maintenant très concurrentielle, et certaines marques s’affirment plus que d’autres grâce à leur identité spécifique. Les modèles des boutiques expriment leurs différences : l’appartenance à une association écologique locale, proposer de apéritifs verts comme Ideo, ou organiser une exposition chaque mois comme la boutique Filambule. En s’intégrant à la vie du quartier ou de la ville, la mode éthique crée des lieux de vie. 


De manière générale, les créateurs éthiques se heurtent à la difficulté de communiquer la marque sous toutes ses coutures, en continuant d’éveiller l’intérêt du client. Selon Rachel Liu, co-fondatrice de la marque Ideo, «il y a un point de rupture délicat entre la communication et l’ennui».

Le modèle de boutiques propres permet :
- d’apporter une réponse au problème d’attractivité et de visibilité de l’offre
- de proposer une offre d’achat moins standardisée par rapport à l’offre traditionnelle
- d’expliquer la démarche de l’entreprise, de porter l’image de la marque 
- de contrecarrer l’offre des grandes chaînes, qui intègrent des lignes bio dans leurs collections

Et le e-commerce ?

Le e-commerce pourrait être une solution adaptée pour répondre à un cœur de cible qui s’élargit, grâce à l’intérêt croissant des consommateurs, et à la baisse du surcoût généré par la création de la filière.
"Ne pas être sur internet, c'est manquer des ventes dans les magasins physiques », explique Eric Bascle, directeur de la stratégie et du développement Devanlay.
Un client sur deux a recourt à Internet avant de réaliser un achat en boutique. La vente en ligne en France s’élève à 735 millions d'euros aujourd'hui, soit 6,9% des ventes totales, elles devraient passer à 2.5 milliards en 2015, soit 11,7% de part de marché(1)La marque Tudo Bom ? s’est récemment distinguée dans ce domaine en recevant le prix Elan de Mode, pour avoir particulièrement bien conçu son site Internet.
Mais attention, il est important de ne pas créer de frustration lors de l’achat, et d’entretenir la désirabilité du produit. Les outils les plus appréciés par les internautes sont les suivants(2) :
- la présentation des produits en 3D
- le mannequin virtuel à ses mensurations
- le suivi de l’avancement des livraisons
- l’assistance dans le choix de la taille des vêtements
La réalité augmentée pourrait même en apprendre plus au consommateur sur le processus de production du vêtement, et l’impliquer d’autant plus dans son acte d’achat : un zoom sur une étape de la fabrication, la matière utilisée, la caractéristique du produit. 














L’utilisation d’Internet comme mode de commercialisation offre de nouvelles opportunités aux marques pour enrichir l’expérience client.







(1) D’après une étude de l'Institut de recherche britannique spécialisé Center of retail research.
(2) D’après une étude EspaceMax/OpinionWay « Le luxe et la mode sur Internet »




jeudi 10 juin 2010

LES CRÉATEURS ÉTHIQUES, ACTEURS DU « DÉVELOPPEMENT DÉSIRABLE »



Fun, glamour, chic, plaisir, s’associent aux collections des marques de la mode éthique ;  Ekyog parle même de vêtements «intelligents». Force est de constater que le « développement désirable »(2) pourrait avoir un bel avenir devant lui. Au delà d’une conscience écologique et d’une morale éthique, les marques créent du beau. Leur action mérite d’être reconnue et soutenue. Des étudiantes y ont réfléchi, et ont créee l’agence Ideovert.  Leur but est de « promouvoir le développement durable dans tous ses aspects à travers un événement ». Le 26 juin, c’est l’occasion de soutenir leur travail, et celui des 20 créateurs éthiques, qui participent au défilé organisé par l’agence. On y retrouvera, entre autres, CO2, Idéo, Valérie Pache, Art.23, Ethos, La 7ème sister, Anna Fjord, Céline Faizant.
































(1) Nathalie Kosciusko-Morizet

(2) Notion proposée par Cyril Blin de Belin

samedi 5 juin 2010

WATTWASH : LA NOUVELLE TECHNOLOGIE AU SERVICE DE LA PLANÈTE



Le nouveau procédé WATTWASH de Marithé et François Girbaud prouve une fois de plus le rôle prépondérant des nouvelles technologies dans la mise en place du développement durable. Avec le procédé de délavage WATTWASH, la marque déclare économiser 97.5% d’eau par rapport au procédé classique. Après avoir crée le procédé STONE WASH, Marithé +Francois Girbaud continue de s’affirmer comme la marque de jean pionnière dans son domaine, révolutionnaire, et toujours plus respectable.
C’est actuellement l’occasion d’admirer les résultats de cette nouvelle technologie de plus près. Dans le cadre du festival d'arts hi-tech K-Live de Sète, qui se déroule du 4 juin au 4 septembre 2010, la marque installe une cascade de jeans et une grande fresque de denim gravée avec le procédé WATTWASH.


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