Le prêt-à-porter bio sous son grand chapô: La PUBiothèque

Les Ateliers de la Maille - Novembre 2010

C&A - Octobre 2010

Aigle - 2009

Levi’s - 2009

Coop Naturaline - 2008

C&A - 2008

Comptoir des Cotonniers - 2009

Katharine Hamnett - 2006

Edun - 2009

Lacoste - 2009

Quicksilver - 2010

Le Jean NU - 2008

Adidas SLVR - 2009

Pourquoi le prêt-à-porter bio ?

Le bio pose de nouvelles problématiques qui s’additionnent à des notions très convoitées par les marketeurs, tel le plaisir, le désir, le paraître, et qui sont d’autant plus exacerbées dans l’univers du prêt-à-porter. L’achat final y est relativement fréquent, dans un univers régis par la très Sainte Loi de la Mode. Sauf que le bio n’est justement pas du recourt du marketing uniquement, mais bien un sujet transversal qui dépasse même largement les murs de l’entreprise. Alors on croit en tenir un bout, mais on n’en retient que du vent, pire même, un lamentable discrédit. Ce que j’aime dans le bio, c’est sa continuité de paradoxes à en faire tourner la tête. Le sujet est à la fois coriace et sensible, limitant et stimulant, singulier et universel, authentique et contesté, pragmatique et idéaliste. Le bio c’est du sérieux, on ne se l’approprie pas comme ça, c’est un engagement global sur la durée.

Le prêt-à-porter bio sous son grand chapô

Dossier spécial : Luxe et DD

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